Забавные истории, анекдоты

Автор: Valentina, 12 Май 2012, Рубрика: Анекдоты на французском

LIRE POUR RIRE

Забавные истории — тексты, которые позволяют легко изучить язык. Если вы хотите быть веселым и уметь веселить других, внимательно прочитайте истории, которые ниже. В жизни важно не принимать все всегда в серьез. Изучайте весело:

Les histoires amusantes sont des textes qui permettent d’apprendre facilement la langue. Si vous voulez être gais et pouvoir faire autres se sentir gais, lisez attentivement les histoires qui suivent. Il importe dans la vie de ne pas se prendre au sérieux. Lisez en étudiant:

Un couple (mari et femme) qui part en vacances vient de s’installer dans un compartiment de chemin de fer.

— Oh, s’écrie soudain la dame. J’ai oublié de débrancher le fer à repasser! Pourvu que ça ne provoque pas un incendie!

— Aucun danger, répond le mari. Moi, j’ai oublié de fermer le robinet de la baignoire…

** *

L’instituteur explique un jour ce qu’est une coïncidence, puis demande à un élève de lui donner un exemple. Et celui-ci ré­pond:

— Mon père et ma mère se sont mariés le même jour.

** *

Deux amis visitent une exposition de peinture. S’arrêtant de­vant un tableau, l’un demande à l’autre;

A ton avis, ce tableau représente-t-il un coucher ou un lever de soleil?

Certainement un coucher, je connais le peintre, il ne sort jamais de son lit avant midi.

** *

Il fait nuit. Le train roule vers Marseille. Un monsieur entre, tout essoufflé, au wagon-restaurant:

— Vite, une dame s’est évanouie dans la première voiture! Avez-vous un peu de cognac?

Le garçon lui tend une bouteille. Le voyageur la débouche, boit longuement, remet soigneusement le bouchon et dit:

—        Merci beaucoup. Ça me rend toujours nerveux de voir une femme s’évanouir…

** *

— Allot Allo! Je parle avec Monsieur le commissaire de police? Au secours! Je vais mourir!

— Que se passe-t-il?

— Vite, venez, un chat est entré dans la maison!

— Mais vous vous moquez de la police?

— Non, non! Il s’approche de moi et bientôt va me tuer…

— Mais qui étes-vous?

— Je suis le perroquet de Madame Dupont!

** *

C’est un match de boxe monotone. Les deux adversaires sont toujours attachés l’un а l’autre et, visiblement, ils n’ont pas envie de lutter.

Quelqu’un dans le public crie:

— Eteignez les lumières, ils pourront dormir!

Mais d’un autre point du stade, on entend:

— Non, n’éteignez pas, je suis en train de lire!

** *

Deux copains d’école se rencontrent après s’être perdue de vue sut longtemps.

— Que fais-tu comme métier?

— Je travaille dans un bureau, et toi?

— Moi, je suis mécanicien à Air-France.

— C’est formidable! Alors, tu voles?

— Oui, un bidon d’essence de temps en temps.

** *

Le maître fait une leçon de morale en classe et il traite des sauvetages. Il demande aux élèves:

— Lequel d’entre vous a sauvé quelqu’un?

Gérard lève le doigt et dit:

Moi, monsieur, j’ai sauvé un poisson qui était tombé à l’eau.

** *

Un auteur dramatique reçoit un coup de téléphone d’un ami:

— Tu sais, il y a un monde fou devant le théậtre où l’on joue ta pièce.

— Quelle chance, c’est le succés !

— Non… C’est l’incendie!

** *

Au cours d’une soirée mondaine, la maîtresse de maison mena Einstein sur un balcon, et lа se répandit en phrases lyriques sur la splendeur du ciel.

— Voici Vénus, dit-elle, nous envoyant ses rayons.

— Madame, fit remarquer le savant, ce n’est pas Vénus, c’est Jupiter.

Et la dame confia plus tard à ses amis

— Einstein est vraiment le plus grand des savants. Songez qu’il est capable de distinguer le sexe des étoiles à des millions de kilomètres de distance!

** *

Deux amis se rencontrent. L’un dit:

— Tu sais, chaque fois que je te rencontre, je pense à notre ami Pierre.

— C’est curieux! Je lui ressemble donc tellement?

Non, mais lui aussi, il me doit cent francs…

** *

Un homme entre dans un bar en hurlant:

— Où est Jo?

Un petit homme avance et dit:

— C’est moi!

Aussitôt, le premier monsieur lui assène une série de coups de poing en plein visage, puis il s’en va. Les autres clients se pré­cipitent vers le pauvre homme:

— Dis donc, il t’a bien eu!

— Mais non, fait le petit homme, c’est moi qui l’ai bien eu, car je ne m’appelle pas Jo !

** *

Un critique lui reprochait d’avoir parié dans un roman du « vide douloureux » qu’occasionnent les moments de faiblesse.

— Quelle singulière image! dit-il. Comment une chose vidé peut-elle être douloureuse?

Alors Dumas, froidement:

— Mon cher ami, vous n’avez donc jamais eu mal à la tête?

** *

Un jeune homme fait de l’auto-stop sous la pluie. Une auto s’ar­rête. Le conducteur baisse sa vitre et demande:

— Où allez-vous?

— A Paris.

— Moi aussi. Bonne route!

Et l’automobiliste remonte sa vitre et repart

** *

— Vous fumez trop, dit le médecin. Vous mourrez jeune!

— Bah! Mon père à soixante-dix ans et il fume toujours.

— Eh bien, s’il ne fumait pas, il en aurait quatre-vingts…

** *

Jean demande à son père:

— Un cannibale, papa, qu’est-ce que c’est ?

— Eh bien! Supposons qu’un jour tu nous manges, ta mère et moi: tu serais un cannibale.

— Ah, bon… Je pensais qu’on disait plutôt un orphelin…

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